. Le-discours-ouvert, ordre Janicot classe les textes de son anthologie en trois catégories de discours 212 et ceux de Cai Yuanpei traversent les trois domaines qu'elles recouvrent, soit la politique, la philosophie et la critique artistique. Ainsi, on remarque que la force du discours de Cai Yuanpei repose déjà sur sa dimension totalisante. Dans ses propos, Cai Yuanpei englobe le temps par une certaine manière de voir l'histoire, et l'espace avec le principe de 210

-. Discours, École nationale des beaux-arts », allocution prononcée le 15 avril 1918 et publiée dans Journal de l, p.78, 1918.

-. Dédicace-À-lengyue-huaping and ». , in Catalogue, éd. Lengyue, septembre 1935, Janicot, op. cit, pp.113-114, 1924.

-. La, Association d'Education franco-chinoise (29 mars 1916 à Paris) », allocution prononcée à l'occasion du lancement de l'Association d'Education franco-chinoise ????? (Huafa Jiaoyu Hui) au siège de L'Association de l'éducation libre de Paris ???????, Gao Pingshu, pp.414-416

J. Éric, en : 1 -La légitimation politique qui pose les fondements éthiques et sociaux de l'européanisation de l'art chinois. 2 -Les discours de justification des théoriciens, en esthétique et histoire comparée des arts, 2007.

À. Pourtant and . Travers-sa-biographie-et-sa-chronologie-france-et-en-chine, il a accompli en France un parcours typique tel que nous l'avons défini plus haut Li Chaoshi faisait partie de cette élite républicaine idéaliste et il assumait lui-même ou par sa famille son rôle dans le réseau des artistes et intellectuels chinois en France puis en Chine Wu Dayu rapporte que c'est son frère Li Jun qui l'a accueilli à Paris 820 Liu Haisu a reconnu rétrospectivement sa compétence en dessin, au pastel (cf. Annexes II p. 105), dans ce qui était effectivement une tentative de mélange d'une approche chinoise dans les sujets, dans la composition et un traitement réaliste à l'occidental, dans la logique du Xie Sheng 821 . Il a effectivement passé un temps considérable (???) dès son origine en 1919. Il a présenté ses oeuvres à toutes les expositions de l'association comme le rapporte Wang Jiyuan dès 1920, et on peut l'y suivre jusqu'en 1926. C'était un animateur important du Shanghai Meizhuan, dont il fut nommé professeur de peinture occidentale à son retour de France et l'effectif de son département atteignait cent-cinquante élèves dès 1920. La même année, il créa un département pour les femmes, Proche du sommet du milieu politique par son frère Li Jun le Shanghai Nüzi Meishu Xuexiao (????????). Il diffusait aussi la bonne parole du Meizhuan à Hangzhou au cours des fameux voyages de peinture en plein air auquel Wu Fading venu de Pékin participait ; il était actif à Nankin et dans d'autres nouveaux centres de la région comme Zhenzhou. Il bascula ensuite à Hangzhou à l

A. and L. Fengmian, son style, tout en étant différent, s'en rapprochait comme si le même contexte imposait une ligne stylistique à laquelle on ne pouvait pas échapper

W. Guanzhong-rapporte-sur-cette-Époque-la-présence-de-li-chaoshi-dans-le-corps-enseignant-du-guomei and . Hangzhou, École des beaux-arts de Paris, comme Fang Ganmin et Wu Dayu alors même que Claudot était en poste 822 Li Chaoshi figure naturellement dans la fameuse exposition nationale des 820 « Je me souviens que, de notre arrivée à Paris, c'était le frère de Li Chaoshi (Li Jun) qui nous a accueillis et aidés. A l'époque, le directeur de l'École des beaux-arts de Paris était Albert Besnard ; l'École de l'époque représentait l'école académique. Les étudiants sortaient dans la journée pour faire de la peinture, toute l'école baignait dans une atmosphère académique silencieuse. L'impressionnisme n'était plus à la mode, quoique le style des professeurs ressemblait un peu à l'impressionnisme, leurs touches étaient douces et lisses, et Yan Wenliang

S. Le, ». , G. Weijie, and L. Chaoshi, Jìng Wù) ou le paysage, combine parfaitement sa compétence magnifique en dessin et sa technique enrichissante au pastel. Ces peintures au pastel se caractérisent par les scènes esthétiques des peintures traditionnelles chinoises. Elles sont considérées comme le meilleur mélange des techniques occidentales et chinoises, 2014. Liu Haisu. Les Beaux Art (M?i Shù), 2e volume, Numéros 1, mars, pp.26-36, 1920.

W. Guanzhong, Lin Fengmian était le directeur de l'école nationale à Hangzhou, il était occupé par les affaires scolaires et il n'avait pas trop de temps à consacrer à des cours

S. Dans-le-catalogue-du-salon-de-la, 644 est le « Portrait de Mme Péon » qui est le seul pouvant correspondre à La lecture (????Dushu) donné par le journal comme exposé à la Meishu Zhan de 1927 à Paris, 1930.

. Junbi and . Toutefois, Il est à Strasbourg en 1924, placé à côté de Zeng Yilu comme membre de la « Société Chinoise des Arts Décoratifs à Paris » 897 ; il y présente 14 pièces dont 7 encres chinoises et 6 peintures sur soie, avec un numéro supplémentaire à la page 27. Pas d'image. En 1925, à l'exposition de Paris, sa position est plus importante, sous le Consul général de Chine en France, M. Tchao Itao commissaire général, Wang Daizhi est « Commissaire général adjoint, Nommé par décret du gouvernement : M. Daitche Ouang, Représentant général de la Mission de l'Exposition de l'Art chinois en Europe ». Aucune information supplémentaire sur lui ne nous est connue jusqu'à son Le brouillard ( ??? wu), publié dans le Beiyang Huabao en juillet 1927 898 (cf. Annexes II p. 120) Cette très belle encre chinoise est donnée comme avoir été présentée dans le cadre de « The Peking Fine art exhibition, il faut reconnaître que Fang Junbi fut la seule à revendiquer une influence aussi directe de Besnard dans sa peinture et à travers une relation de maître à élève. 835 Liangyou On pense alors à la manifestation organisée par Lin Fengmian et André Claudot en mai 1927. Wang Daizhi a peut-être fait partie du cercle de Lin Fengmian ? Artistiquement, on le voit uniquement comme un peintre à l'encre, dans une formule modernisée 899 , certes, mais qui n'a rien à voir avec l'École des beaux-arts de Paris et encore moins avec Xu Beihong, p.28, 1927.

. Nous-avons-trouvé-son-nom-dans-la-liste-de-la, 15 e session de départ en France d'étudiants de la Huafa Jiaoyuhui ; elle comprend 197 noms dont celui de Sun Peicang au milieu d'autres compatriotes originaires de Fengtian (Shenyang) On sait aussi que Mao Bing était parti en France par bateau avec « Shen Pe Tsan » -Sun Peicang, paradoxe ressort du fait qu'on ne connaît pas d'oeuvre de la main de Sun Peicang alors qu'il a accumulé une collection importante d'oeuvres occidentales et chinoises, p.901, 1920.

?. and B. Municipale-de-lyon, où est résumé son parcours en France ; l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris est mentionnée. A l'appui de sa candidature à la direction de l'Institut franco-chinois

. Shanghai, Meizhuan entre 1920 et 1921 avant d'y revenir comme enseignant en, p.920, 1927.

. Dans, Mais par exemple, nous pensons que Tsai Yuan (30) pourrait être ni plus ni moins que « Madame Cai Yuanpei ». Avec cette hypothèse, s'offrent deux possibilités : Zhou Jun (1890-1975) et Cai Weilian (1904-1940) Zhou Jun originaire de Nankin a épousé Cai Yuanpei en 1923 avant leur départ pour l'Europe accompagnés de Cai Weilian. De Belgique, ils passent en France au début de l'année 1924 Zhou Jun est donnée comme ayant fréquenté l'École des beaux-arts à Bruxelles, et on connait ses oeuvres, peintures et sculptures dont on peut voir un certain nombre d'exemples dans la demeure de Cai Yuanpei à Shanghai récemment transformée en musée, Quant à Cai Weilian, elle est connue comme peintre, notamment pour ses portraits, et elle fut l'épouse de Lin Wenzheng, le camarade intime de Lin Fengmian. Certes « Madame Tsai » est née à Shanghai alors que Cai Weilian est née à Shaoxing dans le Zhejiang, mais Xu Beihong se déclare aussi « né à Shanghai » dans certaines archives de l'École

C. Artistiquement and . Weilian-se-situe-dans-la-veine-de-lin-fengmian-924, Ne poussons pas plus loin, mais si sa présence était confirmée, elle offrirait un lien direct entre l'École des beaux-arts de Paris et Cai Yuanpei Ce lien ne serait pas surprenant

L. Dans-les and . Qi, qui est signalée comme la grande soeur de Li Huang (1895-1991) et l'épouse de Zhang Yi (1887-1969) qu'elle accompagne quand il prend un poste à l'université de Xiamen. Auparavant, elle serait rentrée en Chine avec un poste d'enseignante au Beiping Yizhuan. En fin de ce sous-groupe, dans l'atelier Lucien Simon, arrive dans l'atelier en janvier, 1902.

L. Chao, ?. , and O. Dongjian, ??????????????? ??, La peinture occidentale en Chine ; Les activités artistiques des peintres chinois allés en Europe, p.8, 2009.

J. Meishu-zuopin, ????·???????????? 115 ?????????????, Une grande maître de peinture, commémorer l'anniversaire de 115 ans de Pan Yuliang -les oeuvres des Beaux-arts sélectionnées de Pan Yuliang, p.188, 2011.

. Est-elle-passée-par-lyon, Elle occupe un poste d'enseignement à Hangzhou. Fin tragique en 1940, Voir Liangyou, n, vol.50, p.26, 1930.

B. Gaudichon and O. Friesz, le fauve baroque 1879-1949, catalogue d'exposition

É. Gallimard and P. , 938 La récolte de l'automne (??????Shouhuozhiqiu) dans Liangyou No.19 du 30 septembre 1927 Il s'agit bien du tableau conservé au National Museum of Art d'Oslo, Le travail à l'automne, grand format de 200.5 x 250 cm peint fin 1907 et début 1908. L'oeuvre flirte avec le cubisme dans une période charnière qui annonce le retour à l'ordre. A cette époque, Matisse et Friesz avaient dépassé le Fauvisme pour revenir à la figure et au sujet, p.20, 2007.

. Photographie-coloriée-qui-ressemble-À-de-la-peinture, « Art Photographs » p. 19. Elle tend à détrôner la peinture ? Engouement pour la photographie et ses ambiguités entre art

. Duvent, Pont de pierre animé sur une rivière du vieux Canton (Chine), huile sur papier marouflé sur panneau, 39.5 x 51.5 cm. Collection particulière. Duvent a voyagé en Extrême-Orient et on trouve également un tableau intitulé Pont de Pierre à Canton présenté à l'exposition coloniale de Marseille en 1906 et acquis par l'État. l'École des beaux-arts de Paris, mais dans la diversité, 1867.

. Parmi-les-Élèves-d-'ernest and . Laurent, on trouve au début une figure importante du champ artistique chinois d'entre les deux guerres : Zhang Xian (1898-1936) (37) Zhang Xian reste un grand inconnu de l'histoire de l'art à cause de sa disparition précoce 961 . Pourtant, il a joué un rôle important et son image est surexposée

Z. Xian-fut-un-Élève-brillant-issu-de-la-classe-moyenne-de-la-région-de-wenzhou, A cette époque, le mouvement travail-études s'est interrompu et l'Institut Franco-Chinois à Lyon a recadré le flux des étudiants par le haut. Pourtant, les Chinois continuent d'arriver. Sous le nom de « Chang Ye », Zhang Xian rentre à l'École des beaux-arts fin janvier 1927 pour une première période d'études d'une année scolaire et demie, jusqu'en juillet 1928, ce qui n'est pas rien Il semble personnellement lié à l'ambassadeur de Chine à Paris, Gu Weju qui l'aide à être recruté par Liu Haisu au Shanghai Meizhuan lors de son premier retour au pays 962 . On raconte qu'ayant entendu le projet de Liu Haisu de se rendre à Paris, il se serait proposé de l'accompagner. Sans moyens, Liu Haisu aurait organisé une exposition où les ventes auraient permis de récolter des fonds pour financer le voyage de Zhang Xian Un article publié dans le Shangwu Yinshuguan aurait également rapporté 500 Yuans. Le 25 février 1929, Zhang Xian embarque sur le paquebot français Sphinx avec Liu Haisu. De retour à Paris, il est un intermédiaire précieux pour Liu Haisu dont l'ambition est dévorante en France 963 . Mais ce que nous montrent les archives, c'est qu'il revient étudier à l'École des beaux-arts de Paris, dans le même atelier Laurent dont il était resté membre malgré son retour en Chine l'année précédente. C'est un cas assez unique de retour en Chine à partir de l'École, puis de retour en France à l'École. On le voit alors reparaître dans l'atelier Laurent en mars 1929 et il y reste jusqu'en juillet. L'année suivante, il la passe d'octobre 1929 à juillet 1930 sous la houlette d'André Devambez qui a remplacé Laurent décédé en juin 1929. C'est donc un parcours assidu qui en deux périodes cumule trois années d'études en atelier. Or, Zhang Xian est réputé être parti en France en 1924 et avant d'entrer à l'École des beaux-arts, il a dû se former ailleurs, peut-être chez Julian mais c'est à vérifier, et sans doute ailleurs, à Montparnasse, mais il rentre directement chez Laurent sans passer par le sas préparatoire des galeries ; c'est d'ailleurs le cas de tous les Chinois chez Laurent depuis 960 En automne, Lorsqu'il arrive en France par ses propres moyens35) a quitté Paris pour Moscou où il a travaillé comme technicien dans les imprimeries soviétiques. C'est probablement un étudiant très politisé. A son retour en Chine enInstitut des sciences et des techniques de l'imprimerie de la Banque populaire de Chine. Il a consacré toute sa vie au secteur de l'imprimerie en Chine. 961 Il n'existe pas à notre connaissance de monographie qui lui soit consacrée à ce jour. Juste un recueil de ses dessins publié par les éditions Shangwu Yinshuguan, 1900.

L. Seul-dans, . Cour, and . Mûrier, mais aussi parmi un groupe nombreux et serré d'étudiants chinois réunis dans une chambrée. Le contraste manifesté par ces clichés entre Liu Haisu et Xu Beihong est saisissant. Or, cette photographie de groupe avec Xu Beihong fait partie d'une série qui concerne précisément celles et ceux impliqués dans l'Association des artistes chinois en France. L'initiative en revient à trois étudiants de l'École des beaux

L. Liu-kaiquyu-binglie, Z. Kaiqu, W. Zhushao, C. Linyi, L. Zhixiu et al., Lu Chuanwen) le 14 janvier 1933 en ait donné un contour plus précis Entre le 5 février et le 5 mars, on continuait à se réunir pour fixer les statuts et l'association fut fondée lors d'une réunion plénière le 2 avril 1933 1035 Xu Beihong était justement arrivé à Paris le 3 mars accompagné de Hua Tianyou. Furent-ils directement associés aux discussions ? Sans doute pas directement, mais tout le monde savait que Xu Beihong était en Europe pour l'exposition qui devait ouvrir en juin 1933 au Jeu de Paume et sa présence était un aiguillon. Xu Beihong revint à Paris fin avril pour les préparatifs après un voyage en Belgique, en Hollande et en Angleterre alors que Hua Tianyou qui l'avait accompagné de Chine en France était inscrit depuis le 10 mars 1933 à l'École des beaux-arts de Paris, dans l'atelier Bouchard, Ils en ont fixé le principe général à la Noël 1932 avant qu'une réunion élargie

J. Originaire, de 1927 avant que celui-ci ne l'encourageât à partir en France Il est passé par l'Institut franco-chinois de Lyon à partir de fin 1928 1036 et il s'est inscrit à l'École des beaux-arts de Paris en décembre 1931 dans l'atelier d'André Devambez. Son parcours est peu dense en termes de présence à l'École des beaux-arts de Paris, mais il fut toutefois suffisamment armé pour réussir le concours d'admission le 9 mai 1932 à titre temporaire. C'est sans doute une consécration pour Xu Beihong dont Lü Sibai fut le premier élève de l'École centrale à passer et à réussir l'épreuve d'admission à Paris

L. Sibai-Était-donc-exemplaire,-comme-réussite-d-'un, «. , ». De-chine-en-france-et-qui-devait-fonctionner-ensuite-de-france-en-chine-au-bénéfice-de-la-tendance-artistique-de-xu, and . Beihong, Chang Shuhong (1904-1994) (86), le deuxième initiateur de l'association, est également arrivé de Lyon en novembre 1932 dans l'atelier Albert Laurens. Contrairement à Lü Sibai, il a suivi à l'École des beaux-arts un parcours dense de quatre années scolaires, sans toutefois se présenter au concours d'admission, 1037.

C. Sibai, Z. Shuhong, T. Qingding, Q. Yihe, L. Shanjun et al., Après cette date, une dizaine de réunions eurent lieu et au fur à mesure que les membres rentraient en Chine, l'association s'est dissoute Toutefois, l'association est encore active après la guerre puisqu'elle est à la base de l'exposition organisée à l'École des beaux-arts en, peinture occidentale en Chine? Les activités artistiques des peintres chinois allés en Europe, 1946.

. Il-est-officiellement-inscrit-jusqu-'en and . Juillet, Le passage préalable par Lyon nous intrigue Pourquoi ne pas arriver directement à Paris ? Pour apprendre le Français ? Bénéficier d'un soutien financier et de la protection d'une tutelle officielle ? Pas de réponse précise possible sans avoir dépouillé les archives à Lyon. 1037 En usant d'une métaphore horticole, Lü Sibai serait comme une « bouture, 1934.

. Fait-passer-de-la-peinture-À-la-sculpture and . Qu, saisit et il décida de s'engager en sculpture 1059 Il se retrouve avec « trente chinois » à l'École des beaux-arts de Paris, c'est à la fois le nombre effectif de Chinois à l'École mais aussi le nombre des membres de l'association à laquelle il adhère On voit que son orientation passe par une prise de conscience de l'intérêt social de la sculpture et qu'à l'époque il évolue dans un groupe de Chinois qui devient très important à l'École des beaux-arts. Il ne renonce pas pour autant à la peinture, aimant dessiner sur le vif des paysages urbains. Le tableau qu'il envoie au Salon des Indépendants à l'hiver 1931, La pluie de Hangzhou (?????? Hangzhou de yu) avait été reproduit l'année précédente dans Liangyou 1060 (cf. Annexes II p. 142) Son tableau est dans une veine drolatique, un peu à la Feng Zikai, petit peuple des villes, style enlevé et sans doute coloré. Est-ce cet envoi dont le Beiyang Huabao rend compte en montrant le visage de l'artiste dominant dans une vignette le Grand Palais 1061 ? Il s'agit peut-être déjà d'une oeuvre sculptée à l'image de celle qu'on voit sur une photographie montrant l'artiste, son modèle et son oeuvre dans un style qui rappelle plus Despiau que Landowski 1062 Wang Ziyun reprend l'atelier de Liu Kaiqu pas loin de Montparnasse dont il fréquente aussi les académies libres et le « marché aux modèles » 1063 . Dans son compte rendu, Wang Ziyu est plus exact que beaucoup d'autres agents ou témoins sur l'École des beaux-arts de Paris et sa situation dans le champ artistique français. Lui-même signale que l'École ne délivre pas de diplôme alors que cette idée reste ancrée aujourd'hui chez les spécialistes en Chine. Il évoque le rapport entre le travail d'étudiant à l'École et la possibilité d'exposer au Salon, entendu comme SAF et SNBA. Il parle de l'importance du maître, professeur chef d'atelier, de l'influence qu'exerçaient sur les élèves par leur exemple, les tableaux et sculptures du Prix de Rome, même les plus récents et exposés dans les galeries de l'École auxquelles tous avaient accès, français et étranger . Il reconnaît aussi le double aspect d'une formation de qualité, qui est académique et humaniste, mais qui sert aussi de faire valoir, de consécration, pour celui qui 1059 « En Chine, j'avais étudié la peinture à l'huile. Après mon arrivée à Paris, en voyant les monuments de la ville et les places publiques décorées de sculptures, je compris la supériorité de la sculpture sur la peinture pour embellir la vie et améliorer la ville ; comme je pensais que l'art devait servir la société, Cong Chang'an Dao Yadian -Zhongwai Meishu Kaogu Youji, ???????????? ????, De Chang'an à Athènes -récit de voyage archéologique des beaux-arts chinois et étrangers, pp.417-50, 1060.

. La-pluie-de-hangzhou-de-wang-ziyun, En pleine nature de Lin Fengmian (???? huangye), L'aube (???chen) de Li Fengbai, Beiyang Huabao, 1061.

L. Tinghua, ?. , and «. , Recherche de mémoire perdu : L'interprétation et la trace de l'histoire et personnage, ??? ????:??????????? », ??????????????Overseas edition: Artists, n, p.91, 2012.

W. Ziyun, ?. , C. Chang-'an-dao-yadian-zhongwai-meishu-kaogu-youji, and ?. ???, De Chang'an à Athènes -récit de voyage archéologique des beaux-arts chinois et étrangers, pp.432-434, 2005.

W. Ning, ?. , and Y. Dashi-zhilu-congshu-wu-zuoren, ?????????????, Séries des grands maitres artistiques -Wu Zuoren, p.107, 2003.

Z. Zuopinzhan-sumiao-yu-zhongguohua, . ??????????????, P. Exposition-des-oeuvres-de-wu-zuoren-dessin, and . Chinoise, 1079 Il faut dépouiller tous les jugements Nous avons photographié en série complète les cinq volumes reliés qui courent de 1931 à 1950 et 197) pour les « travaux d'atelier de peinture », Chang Shuhong obtient une « deuxième mention » « à titre étranger » (p. 223 et 224) pour les « travaux de vacances ». Dans chaque atelier sont attribuées par le jury composé de tous les professeurs de peinture, chefs-d'atelier et autres, deux récompenses, « la première » et « la seconde » ; quand un étranger est récompensé « à titre étranger », un même prix, premier ou second, pp.63-64, 1932.

. Théophile-alexandre-steinlen, 1859-1923) dont nous connaissons Deux haleurs, aquarelle, gouache et encre sur carton signé en bas à gauche. 36,5 x 46,5 cm, dans un style symboliste. Le motif principal est repris à l'École dans la figure de Samson comme dans le tableau de Théodore Mitrecey

. Repine, Les haleurs de la Volga de 1870-1873, conservé à Saint-Pétersbourg. Le tableau de Wu Zuoren est le premier d'importance en Chine qui s'inspire d'un précédent russe et précisément dans une veine naturaliste et sociale, 1844.

L. Chao, ?. , O. Dongjian, and ?. ??, La peinture occidentale en Chine?Les activités artistiques des peintres chinois allés en Europe Dans une interview de monsieur Wen Lou, sculpteur, après la sortie du lycée au Vietnam en 1952, il a appris la peinture de Liu Quqiao, peintre qui était allé en France, Sui liufahuajia Liu Quqiaoxianshengxihua »). On trouve un livre de Liu Quqiao qui contient cinquante de ses peintures à l'huile et douze dessins au fusain, p.32, 2009.

. Certes, le dossier artistique des membres de cette association, étudiants à l'École des beaux-arts de Paris, pourrait être étoffé, mais à ce stade, il est assez épais pour qu'une tendance nous apparaisse de manière assez claire pour avancer un

. Parmi, École des beaux-arts (durée des études, diversité des apprentissages, récompenses dans les ateliers, succès au concours, participations aux salons ?) Cette tendance générale semble aussi le résultat d'un travail combiné entre peintres et sculpteurs qui partagent assurément des préoccupations et une expérience commune que l'Association permet de mutualiser. Aussi, la « ligne » et le « front uni » de l'association correspondent à la tendance artistique défendue par Xu Beihong plus qu'à toute autre, et au-delà des trajectoires individuelles des agents qui ne les rapprochent pas toujours forcément de celle de Xu Beihong 1090 . Dans ce contexte, la photographie de 1933 est bien plus que symbolique ou circonstancielle 1091 ; elle ne fixe pas simplement la visite d'un ancien déjà célèbre, chez les nouveaux appelés eux-mêmes à être consacrés à leur retour dans la mère patrie. A nos yeux, elle manifeste bien la sorte de tutelle morale et artistique que Xu Beihong exerçait sur ce groupe dont plusieurs membres importants étaient déjà dans le Xu Beihong Xuepai en cours de formation à Nankin ; tandis que d'autres, venus d'ailleurs Pékin etc.) le rejoindraient plus tard à leur retour en Chine, voire pendant et après la guerre, sérieuse et appliquée Même les membres peu liés personnellement à Xu Beihong, comme Chang Shuhong, et les non-membres comme Yang Huaguang, ont eu une production qui rentrait dans le cadre défendu par Xu Beihong : peinture figurative et réaliste, avec une très bonne base de dessin, pleinairisme, colorisme modéré, peinture de genre et ouverture sur une imagerie à connotation sociale et parfois politique que le contexte de guerre va accentuer mais qui renouait d'abord avec le naturalisme français du siècle précédent ; tendance encore portée avec brio par des maîtres français comme les frères Laurens, Lucien Simon ou André Devambez. Cette nouvelle génération de « patrons » français à l'École des beaux-arts de Paris était autant le véhicule du transfert de formules et d'influences académiques sur la nouvelle génération de Chinois que ne l'avaient été les prédécesseurs des uns sur les prédécesseurs des 1089

H. Signalons-le-sculpteur and . Zhipei, né à Baoqing dans le Hunan, connu comme professeur de l'école des beaux-arts de Wuchang (Wuchang yizhuan) et qui est signalé à travers son collègue Peng Youxian comme un Liufa. http://pengyoushan.artron.net/photo_detail_10241 avec une photographie prise à Wuchang en 1933, ancien du Shanghai Meizhuan est lui-même signalé comme Liufa et passé par l'École des beaux-arts de, 1906.

. Paris and . De-lui, dans les archives (il est plus certainement à situer à l'École nationale des arts décoratifs, mais il faudrait vérifier ?) De He Zhipei, sculpteur chez Boucher, on a des académies de très bon niveau, indice d'une formation sérieuse en dessin d'après le modèle vivant, comme l'indique son parcours sérieux à l'École des beaux-arts de

. Paris-entre-octobre, Il s'est essayé au concours d'admission et il obtient un certificat pour sa tutelle, le « ministre de l'instruction publique du Hounan » [sic] ; il doit donc être boursier de sa province. Il ne figure pas comme membre de l'association en janvier 1933, tout simplement parce qu'il n'est pas présent à ce moment là, 1929.

. Autres, La chaîne était en place et fonctionnait au profit d'un retournement de tendance qui donnait à l'expérience chinoise à l'École des beaux-arts un poids et une nature qui

R. Croizier, «. Post-impressionists-in-pre-war, and . Shanghai, The Juelan Shi (Storm Society) and the fate of Modernism in Republican China», Modernity in Asian Art, pp.135-154, 1993.

. La-grande-chaumière and . Puis-chez-eugène-narbonne-formé-À-la-grande-chaumière-qui-lui-succède-entre, ne contredit pas cette manière On aimerait évidemment disposer des images des oeuvres qu'il a présentées en 1946 à l'exposition chinoise à l'École des beaux-arts de Paris 1112 Chez les femmes, nous avons déjà mentionné leur présence relativement forte, sinon beaucoup plus marquée qu'auparavant, même si elles se sont toujours manifestées, dès le début du phénomène chinois à l'École des beaux-arts. Dans le Xuehui, tel que les photographies et la liste de janvier 1933 nous le montre, leur présence est effective et complètement en rapport avec leur existence dans les ateliers de l'École) (67) dont l'inscription est documentée 1113 et qui est membre du Xuehui, Li Yunsheng dont on ne sait rien et qui n'apparait pas sur les photographies, Nous avons les femmes statuaires chez Sicard, parfois un peu inattendues comme Zhang Yunshi et surtout Chen Zhixiu la femme de Chang Shuhong dont les qualités artistiques sont évidentes. Son parcours à l'École s'étale sur au moins quatre années avec trois tentatives au concours d'admission et deux admissions à titre temporaire en 1935 et 1936 1114 sans que nous ayons aujourd'hui la moindre image disponible de sa production. On compte aussi Li Weici, pp.1885-1965, 1901.

A. La-suite-de-prinet, Avec les anciennes élèves chinoises toujours présentes, il accueille en 1932 Zhang Wuzhen (1901-1997) (90) qui passe deux fois le concours d'admission en 1934 et 1936 sans être admise en dépit d'un parcours sérieux de quatre années scolaires ; elle est membre du Xuehui et elle pose toujours sur les photographies à côté de Ma Jiyu dont on devine qu'elle est une proche camarade. Zhang Wuzhen est originaire de Liuyang dans le Hunan. Issue du département de peinture de l'école de filles Hengcui de Changsha (Hengcui nüxiao) en 1925. De 1925 à 1932, 1112 Nous parcourons les volumes de la Grande Masse, sans trace aucune de l'évènement, ni même des Chinois et plus généralement des étrangers, 1932.

L. Jianchu, ?. , and R. M. Shi, Au réveil quand on s'en va: Biographie du grand sculpteur Jiang Xiaojian1894-1939), un « précurseur » chinois en France avec un autre sculpteur, Chen Xiaogang mais hors École des beaux-arts de Paris avant 1915, En raison du conflit qui oppose Liu Haisu et Xu Beihong, nous pensons que cette présence académique de Zhang Yunshi est passée à la trappe. 1114 Nous avons des résultats complémentaires comme des récompenses et mentions dans les jugements, 2005.

. Vierge-À-l-'enfant, ??????Shengmu baoying) les années 1930, dont on ne peut pas dire grand-chose sauf qu'il ressemble à la production saint-sulpicienne de Tushanwan. Mais surtout un remarquable Les poupées (????Wanou) vers 1930 huile sur 40×33 cm toile collection particulière qui fait penser à l

L. Chao, ?. , Z. Youhua-yanjiu-xilie-tang-yunyu, and . ????????·???, The Chinese oil painting research series: Tang Yunyu, Shanghai Renmin Meishu Chubanshe, Shanghai, 2012 ; une plaque commémorative a été apposée à l'entrée de son ancien domicile, Yongjia lu-ancienne route Hervé de Sieyès ; ses tableaux sont dispersés dans les ventes enchères etc

. Paris-entre, Elle est membre du Xuehui et figure sur les photographies les plus connues du groupe d'élèves chinois à l'époque. Ma Jiyu (Ma Guangxuan) est issue d'une grande famille de Wuxi. Elle serait partie en Europe avec sa famille en 1921 pour être formée d'abord à Lyon (mais pas à l'IFCL ?) puis en Belgique, 1933.

. Au-début-de, Elle enseigne à l'université centrale où elle a Wu Guanzhong comme élève. Pendant la guerre, elle travaille à la Radio de Chongqing et en 1942, elle devient enseignante de français à l'école nationale des beaux-arts de Chonqing (Chongqing guoli yizhuan) En 1944, elle est professeur de français de l'Université centrale à Nankin jusqu, 1937.

M. Liu and J. , Shanghai Meizhuan en peinture chinoise avant de venir en France. A son retour en Chine, elle enseigne à l'école des beaux-arts du Shandong (Shandong Yizhuan) et elle est réputée pour sa peinture chinoise au trait (gongbi hua) Son parcours de quatre ans à l'École des beaux-arts de Paris, d'octobre 1933 à juillet 1937, comporte une première année dans les galeries) suit un parcours sérieux de trois ans et demi entre avril 1934 et juillet 1937 à la fois en atelier et en galeries, Mademoiselle Ling Ki Kiu, issue.95100105, 1906.

M. Hwang-chun-mei, 106) sur une période courte Mademoiselle Yuan Shuzhen (1912-1999) (107) entre avril 1937 et juin 1939 est la camarade de Hwang Chun-Mei, arrivant au même moment dans l'atelier et habitant à la même adresse

Y. Shuzhen-est-née-À-tiantai-dans-le-zhejiang, Elle étudie les beaux-arts à l'école Xinhua de Shanghai puis au Japon avant de partir en France en 1936. A son retour en Chine en 1940, elle devient enseignante en peinture occidentale à l'école nationale des beaux-arts de Chongqing (Chongqing guoli yizhuan) et à partir de 1943, à l'école normale de Chongqing (Chongqing Shifan). En, 1949.

B. Bref and . De-femmes, au coeur du groupe des continuateurs-successeurs, mais avec peu d'informations biographiques et encore moins artistiques. Elles représentent une part importante et encore méconnue du phénomène chinois à l'École des beaux, 1930.

L. Originaire-de-l-'anhui-de-shanghai-il-est-alors-le-camarade-de-wu-zuoren, W. Sibai, and . Linyi, Il a participé ensuite naturellement au groupe Nanguo (Nanguo she) où il fait la connaissance de Xu Beihong dont il devient l'élève en peinture à l'huile à l'Université centrale à Nankin A la fin de l'année 1930, il part en France et c'est déjà un membre important du Xu Beihong Xuepai quand il entre à l'École des beaux-arts de Paris. Il apparaît brièvement dans les galeries en février et mars 1931, soit relativement tôt, en même temps que Zhou Fengbai ou encore Tang Yihe. Toutefois il disparaît des archives ensuite pour ne réapparaître qu'en octobre 1935 avec une inscription dans l'atelier Simon. Il est très probable que Lü Xiaguang a basculé dans une académie libre au cours de cet intervalle de quatre ans et surtout il se rend à l'École des beaux-arts à Bruxelles et à un moment où s'y trouvait aussi vers 1933 et plus tard Wu Zuoren, son ancien camarade à Nankin, sous la direction d'Alfred Bastien. A Paris, Chez Simon et Sabatté, il reste d'octobre 1935 à janvier 1937. A son retour en Chine, il va enseigner à la CAFA 1120 . Sa peinture est très académique avec un bon niveau technique ; d'un Nu assis daté, Shanghai yishu daxue) -école créée en 1925 et suspendue en 1928 dont Tian Han fut le président en passant par des dessins soignés des années, 1930.

L. Enfin and . Ruinian, La même année arrivé à Bruxelles, il passe ensuite à Paris chez Lucien Simon en octobre centrée sur les beaux-arts et la littérature créée le 1 janvier 1947 dont Liu Shi était le rédacteur en chef et qui ne donna qu'un seul numéro ???? ?????????????????????1947 ?(?? 36 ?)1 ? 1 ???? ?????????????????????????????????????????16 ?????? ?????? 1 ?? " 1118 Voir analyse de Dal Lago, dans Artistes chinois à Paris, op. cit., musée Cernuschi, 2011. Effectivement, alors que les femmes sont très présentes dans le phénomène chinois à l'École des beaux-arts de Paris, elles disparaissent peu ou prou du champ artistique de Chine continentale après 1949, ou du moins, on ne retrouve pas au retour, des effets à la hauteur de leur implication dans le mouvement Liufa. C'est un fait historique et sociologique qui est problématique. 1119 Information dans Paris Chinese Painting, 1910.

C. Chubanshe, En 1948, à l'invitation du Ministère français de la culture, il est réparti en France pour faire des expositions et il s'y est ainsi installé, pp.4-18, 1990.

. Enfin, On ne peut pas ne pas voir à quel point entre les années trente et la Libération, les artistes chinois en France collent à une tendance qui sera globalement celle mise en avant par le champ artistique soumis aux forces d'occupation, à la collaboration et à Vichy dans la « Révolution nationale ». Bouchard représente un cas extrême mais plus largement beaucoup des références françaises en jeu à l'époque sont touchées, sinon mouillées, par la mise au pas du champ artistique 1132 . Or, les Chinois ne sont pas dans le camp de l'Axe, puisque la Chine est en guerre contre le Japon et par conséquent contre l'Allemagne 1133 . Sur ce point, si délicat, il s'agit d'éviter les conclusions hâtives qui pourraient dans la logique de Clark assimiler l'art étudié et produit par les Chinois dans la France occupée ou vichyste, a un art de la collaboration. Pourtant, il faut bien voir et interpréter la continuité objective entre la tendance que nous avons mise en évidence durant l'avant-guerre pour les Chinois en France et les formules valorisées pendant la période de guerre en France. Le procès d'intention n'a pas lieu d'être, mais objectivement, se pose une question artistique en France puis en Chine

B. Voir-laurence, . Dorléac, ». Les-pèlerins-de-weimar, and L. Art-de-la-défaite, De fait, une bonne partie du champ académique français est capté par Vichy et parfois la collaboration. En conséquence, Henri Bouchard (numéro 278 dans AJ52 35, nommé chef d'atelier en 1929, est « suspendu de ses fonctions à compter du 14 septembre 1944 » et « révoqué sans pension avec interdiction de professer dans les écoles de l'État » au 22 janvier 1945) constitue un cas exemplaire d'épuration qui fait suite à des actes de collaboration (mais lesquels précisément ?). Pourtant, dans les faits, son atelier fonctionne toujours jusqu, pp.74-83, 1940.

A. Janniot, 1894-1961) (AJ52 35 numéro 347) Mais plus généralement et entre autres, le fils d'Albert Besnard, Philippe (1885-1971), statuaire, le fils d'Ovide Yencesse, Hubert (1900-1987), statuaire, nagent dans l'ambigüité, cumulant soutien au maréchal avec des positions hostiles aux avant-gardes ; il y a bien un élan réactionnaire porté par la tendance académique contre « l'art dégénéré », mais c'est l'occupation et Vichy (soit un régime fantoche) qui lui ont laissé le champ libre, AJ52 35 numéro 346) et Marcel Gimond, pp.55-56, 1889.

. Schwalberg, École (Labat-Poussin p. 128), les Allemands auraient eu pour projet de réaliser un film à l'École des beaux-arts (et peut-être sur l'École ?), mais nous n'en avons pas trouvé trace, par contre un film de 1943, ( archives Pathé-Gaumont 4200ATFDOC00010 ? « Rue Bonaparte ») est révélateur de la situation de l'École durant l'occupation avec le rappel de « l'esprit de l'École » qui s'appuie sur la « camaraderie » et la « vénération du maître », avec une mise en scène dans l'hémicycle d'honneur et l'annonce d'un sujet de Prix de Rome, « La France au travail »?qui n'a jamais existé. En AJ52 807, on note la circulaire du ministre Jérôme Carcopino (1881-1970) en juin 1941 ; elle montre l'atmosphère qui prévaut encore après les graves incidents du 11 novembre 1940. On peut y associer le compte rendu de la visite d'Heinrich Ehmsen (1886-1964) de la Propaganda -Abteilung à l'École en janvier 1941. Ces textes sont à tiroirs ; on note une grande crainte chez Carcopino et la prise en main allemande, malgré les amabilités de façade. Ehmsen est un ancien communiste qui a baigné dans la première École de Paris avant la Première Guerre mondiale. Suit une liste des élèves étrangers de l'année 1940-1941 et les Chinois y sont bien représentés Nous évoquions plus haut, la continuité qui s'exerce entre les années, Pour l'ambiance en images, visionner le petit film des actualités sous contrôle allemand au sujet du Salon de 1942 et qui s'achève par un péremptoire : « le goût et la raison 1133 Les relations entre la Chine nationaliste et l'Allemagne furent remises en cause par Hitler qui préféra le Japon. Il reconnut le Manzhouguo puis le régime de Nankin de Wang Jingwei. En 1941, la Chine est de fait du côté des Alliés contre l'axe Rome, pp.257-258, 1930.

. Le-numéro-de-l-'année, École est depuis 1942 l'architecte Paul Tournon (1881-1964) auquel succèdera en 1948 le fresquiste Nicolas Untersteller Or, le texte du directeur intitulé « Notre École » qui ouvre la publication page 11 est un manifeste de défense contre les attaques dont l'École serait l'objet. C'est un florilège en faveur des « disciplines classiques », de l'exemple donné par « les Chefs-d'oeuvre du passé », de la persévérance des « générations successives » etc. contre « la légèreté, l'ignorance ou le parti-pris » qui les « travestissent en académisme ». De ce point de vue, l'École se consacre elle-même comme un bastion de la tradition, assumée comme un « non-conformisme », comme une posture de « résistance » contre le laisser-aller et les facilités passagères de la mode Rien de nouveau donc depuis l'avant-guerre, ni de rupture avec la période de guerre. L'École est bien loin de l'esprit rive-gauche qui s'anime à Saint-Germain et au quartier Latin, celui de la troisième École de Paris. Plus avant, page 17, on trouve un discours prononcé par Paul Tournon à l'Institut en octobre 1942 et qui est encore davantage marqué par l'époque. Pourtant, on a aussi le texte sur la « Maison des beaux-arts », plus « Zazou », entre solidarité des camps de prisonniers (ou des chantiers de jeunesse mais on n'en parle pas), avec une touche de jazz et de « Rendez-vous de juillet » (Jacques Becker en 1949) et qui donne le change à l'administration sur la mobilisation, plus au moins ancien résistant, des forces vives de l'École. Cette continuité sévère par le haut, ou solidaire par le bas, c'est aussi l'image d'une institution dont la présence protégée au coeur de Paris, avec une économie de plus en plus sociale (restaurant, médecine préventive, espace d'exposition?) est aussi protectrice pour ceux qui s'y trouvent en sus des avantages habituels et de spécialité comme l'accès aux musées etc. On comprend alors cette ténacité des Chinois à rester dans l'École alors que la tragédie se joue à l'extérieur. Suivent les extraits d'une conférence de Jean Eugène Bersier (1895-1978) donnée le 30 janvier 1946 à l'amphithéâtre de l'École sous la présidence de Nicolas Untersteller et de Jean Dupas. Face aux « monstres » « morts nés » de la peinture, le conférencier oppose le « goût de la mesure qui est celui de la vérité » et met en relation « l'Individu » et la « Beauté » avec des majuscules, le retour au « Style » et contre « l'art nègre » [sic], l'impressionnisme qui a détourné de la Nature, l'abstrait ; Bersier invoque Paul Valéry (1871-1945) et il donne pour exemple Amédée de La Patellière (1890-1932) Ce dernier a été l'élève de Jean-Paul Laurens, de René Ménard, de Maurice Denis et de René-Xavier Prinet. A-t-il été élève à l'École des beaux-arts ? A celle de Nantes mais pas à Paris. Il prône une peinture spiritualiste et de tradition, dans la veine de la réaction antimoderne de l'entre-deux-guerres et qui nous rappelle dans l'esprit « Forces Nouvelles » tout en ayant derrière les bienfaits des ateliers d'art sacré, une grande école fière de sa tradition et de ses moyens. On sent aussi que cette confiance provient essentiellement des architectes qui dominent l'institution et la revue La référence à Amédée de La Patellière est intéressante car elle exalte un artiste disparu très jeune et de la génération de Bersier ; avec eux, nous sommes aussi dans les mêmes âges que nos premiers chinois aux beaux-arts, jusqu'à Xu Beihong. 1137 La série complète de la revue est consultable sur demande dans la salle de lecture de l'École des beaux-arts de Paris, 1137.

. Même and . Hui-par-le-guomei, il semble bien que Xu Beihong ait participé à la nouvelle organisation de cette école d

W. Guanzhong, P. Paris, ?. Wu-guanzhong-hua-bali, and . Huazhan», France en 1991 puis une première exposition a lieu au musée Cernuschi en 1993 avec le soutien de Jacques Chirac Une autre exposition suit à Paris en 1998 et en 2002 Wu Guanzhong est nommé correspondant de l'Académie des beaux-arts. En également les objets ou les oeuvres qu'il voit comme beaux ou jolis. S'il disait du travail de son élève « c'est joli ! » c'était plutôt négatif, comme un avertissement. Une fois, on avait dans l'atelier un modèle femme qui était assise, d'âge moyen, de grande taille, le buste plutôt long et la tête plutôt petite. Le maître interrogea d'abord toute la classe : « Quel est l'objet que vous voyez devant vous ?, 1149.

«. Dans-le-même-texte, . Jour, and ». Nuit, Souverbie fut un peintre très important dans les années 1940 et 1950 à Paris Académicien (???? ??? Falanxi Xueyuan Yuanshi), son style est majestueux et grave, les thèmes de sa création sont souvent la louange de l'humanité. Par exemple, dans « La Maternité », la mère grandiose comme une montagne, porte l'enfant comme une mine d'or ; dans « La Terre » 1150 , la Mère de l'humanité est assise au centre, comme la divine Nü Wa ; les images des bêtes de labour et des cultivateurs sont marquées autant par la dignité classique que par l'éternité du monde Je suis allé à la recherche de ses oeuvres exposées et de ses fresques dans le Musée d'art moderne, au Palais de Chaillot, etc. C'était presque de l'adoration que j'éprouvais pour lui, et c'était lui aussi qui m'avait initié, tout au cours de mon apprentissage, à la connaissance la plus fondamentale, au goût pour l'art de l'Occident, à la composition stylistique, à la puissance de la couleur, etc. A Paris où il y a de nombreux musées, des galeries (?? hualang) et une multitude d'oeuvres chinoises et occidentales de toutes les époques, on peut se contenter de ce qu'on veut selon son goût personnel, même si l'on ne connaît pas le français, car il suffit de voir au lieu de lire. Pourtant, sans l'initiative décisive de mon maître Souverbie, il admire le style de Souverbie, reconnaît son influence sur sa trajectoire et regrette que son oeuvre ait été en partie oubliée en France je ne trouvais déjà plus les oeuvres de Souverbie dans les musées, alors que son contemporain Braque était toujours admiré par le grand public, ce qui m'attristait, p.1151

. Et-encore, eau, on pense à la source, je pense beaucoup à Souverbie, c'est lui qui m'a conduit à travers la porte de l'art de l'Occident ; ce grand homme du monde des beaux-arts de Paris des années, pp.40-50

. Est-aujourd-'hui-peu-Évoqué-par-les-gens, voire déjà oublié ; ses oeuvres au Musée d'art moderne ont déjà été retirées, et ses grandes fresques exposées au Palais Chaillot ne s'y trouvent plus non plus ; Dequn m'a aidé pour la recherche de ses oeuvres, p.1152

C. Le-tableau-de-jean-souverbie-figure-dans and . Peng, ????20 ?? 30 ??????? ???-??? 20 ????????L'art des années 1930 en France

L. Zhongxin, . Recherche-sur-l-'école-de-xu, and . Beihong, ?????? ) n. 6 de l'année 1985. parfois, notamment pendant la Seconde Guerre mondiale et après la guerre. Dans ces trous parfois béants, il fallut avoir recours aux relevés de présence de chaque atelier comme en AJ52 556 : « Présence dans les ateliers de peinture et de gravure Ateliers de Narbonne, Roger, Souverbie. 1944-avril ». Ces relevés ont l'avantage de la précision car ils sont hebdomadaires. D'autres archives sont utiles et nous n'avons pu en parcourir qu'une partie ; concernant les professeurs dont il est très important de connaître la carrière et la succession dans les ateliers, on peut retenir l'indispensable AJ 52 35, Il faut tenir compte de ce registre matricule du personnel mais aussi le confronter aux listes d'inscription des élèves dans les ateliers (AJ 52 248) et aux relevés de présence (AJ52 931) pour bien savoir quel élève était avec quel professeur et à quel moment

. Pierrefitte-sur-seine, a pour objet le recensement électronique de dossiers à caractère nominatif 1190 ; les cotes des archives de l'Ecole des beaux-arts de Paris qui ont été traitées pour l'alimenter sont : AJ/52/250 à 352, 353 à 437, pp.879-885, 1074.

. Voir-les-généralités-sur-http, xsp ; le catalogue des livres imprimés conservés au service des collections dans http://www.ensba.fr/aloes/opacwebaloes/ 1193 Nous avons pu dépouiller des catalogues de salons à Paris (notamment ceux de la Nationale des Beaux-Arts) mais nous n'avons pas pu être exhaustif faute de nous être rendu de manière suffisante à la bibliothèque de l'Institut National de l'Histoire de l'Art (INHA) à Paris A notre connaissance, ce travail complet sur les Chinois dans les salons à Paris reste à produire

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