J. Bertrand and D. Grojnowski, Présentation, in Bruges-la-Morte, ibid, p.40

. Moyen-Âge, L'espace de Bruges, s'il ne l'est exclusivement, puisque Viane, après sa rencontre avec

C. De-grève, ressemblez à mon rêve...'' Et c'est pourquoi chaque homme ne semble à lui-même n'aimer vraiment qu'une seule femme dans sa vie 955, p.57

H. Viane, quête-t-il une femme qui ressemble à la morte, comme une lecture littérale du roman tend à nous le prouver, ou, comme nous essayons de le démontrer, recherche-t-il, dans le monde moderne, une femme idéale qui s'identifierait à la Vierge dans un Moyen-âge idéalisé

S. Guiochet and L. Pari, Jane Scott n'est pas le rêve réalisé, la femme réelle ne s'avère pas être la femme idéale La quête de l'idéal fait chuter Hughes Viane dans la réalité la plus triviale. Pour parler en termes schopenhaueriens, l'Idée est captive du phénomène Comme l'a très bien noté Christian Berg : « Le rêve est abîmé et sali, l'envol est gelé, prisonnier des glaces du réel. » 957 Car si Jane Scott présente avec la morte une grande ressemblance physique, si l'analogie au point de vue de l'apparence est importante, pour ce qui est de l'ordre du spirituel, elle s'avère être le contraire de la morte. En effet, pour Hughes Viane, lors de l'essayage de robes, « sans la ressemblance, celles ayant figuré la Vierge ou les Saintes 954

S. Guiochet and J. Scott, une femme de spectacle naturaliste ?, Le Monde de Rodenbach, études et documents réunis par Jean-Pierre Bertrand, Labor, « archives du futur, pp.166-957, 1999.

. Bourges-de-la-tétralogie-aux-concerts-pasdeloup-ou-lamoureux-où, 1204 De son côté Hélène Tuzet remarque qu'il « ne devait pas connaître encore, en terminant ce livre, la dernière scène du crépuscule, celle où le Walhalla s'écroule dans les flammes. Il eût certainement perçu le contraste entre les regrets du vieux duc et l'allégresse avec laquelle Wagner voue l'ancien monde au repos -'' Ruhe, ruhe, du Gott.'' » 1205 Tandis que pour Bourges la mort de Siegfried évoque la fin d'un monde, pour Wagner, avec celle de Brünnhilde qui se jette dans le bûcher entraînant la chute du Walhalla, elle est synonyme de salut, d'allégresse, d'un espoir en une autre humanité, de la victoire de l'amour sur la volonté de puissance et l'appétit des richesses. Le thème de la rédemption par l'amour qui clôt le drame musical est, à ce titre, significatif

. Ainsi, Bourges puise dans l

L. Daudet and . Devant-la-douleur, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux de 1880 à 1905, Nouvelle librairie nationale, p.209, 1915.

P. De, . En-octobre-de-la-même-année, . Dans-la-revue, and . Hebdomadaire, Les Oiseaux s'envolent et les Fleurs tombent, ne connut, depuis la mort de son auteur, en 1925, qu'une nouvelle publication en 1942 Cette oeuvre oubliée, d'un écrivain uniquement reconnu par la critique pour son Crépuscule des dieux, qui doit son titre a un poème tiré d'un recueil de vers chinois, intitulé Poésies de l'époque des Thang, traduit par Hervey de Saint-Denis en 1862 1243

A. Lebois and . Était-confondre-le-contenant-avec-le-contenu, Car le roman se présente, selon les mots de l'auteur, comme un « bréviaire de pessimisme » 1245 . Il s'agit, comme il l'écrit dans une lettre à sa tante datée du 4 décembre 1896, d' « un livre exalté, amer et horriblement nihiliste, 1244.

. .. Fournaises-flamboient and !. .. Comme-ils-rugissent-les-damnés, 1250 Les combats auxquels se livrent les communards sont infernaux, Paris devient le lieu d'une véritable apocalypse : « Le ciel n'était qu'un tourbillon de feu Ainsi qu'une forêt immense, la ville brûlait et flambait. Le tocsin ne s'arrêtait pas ; l'artillerie roulait sans interruption. Le cri, la terreur, le bouleversement étaient comme la fin du monde. » 1251 Après avoir connu la misère et la souffrance, Floris connaît, une fois rétabli fils d'un grand-duc de Russie

!. .. Luxe, J'ai plus de délices aujourd'hui que je n'avais jadis de misère, et cependant je suis moins heureux... Nos biens ne feraient-ils donc qu'accroître nos désirs, sans jamais les rassasier Je ne suis pas touché de ce que je possède

É. Bourges, Les Oiseaux s'envolent et les Fleurs tombent, Plon, p.37, 1920.

A. Lettre, Elémir Bourges ou l'Éloge de la grandeur, Correspondance avec Armand Point, Gisèle Marie, p.229, 1962.

. Si-je-la-fais, je serais largement payée Si je la rate, au moins aurai-je eu l'espoir et le désir qui sont les deux seuls biens réels du monde. Ajoutez-y l'effort

L. Nef-est-vraiment-un-beau-livre and . Qu, on la découvre dans cent ans ou seulement dans cinquante (comme les magnifiques poèmes de William Blake) il fera partie désormais de la littérature française. Après ça je n, 1308.

P. Guy-de, Les Affinités instinctives, cité in André Lebois, Les Tendances du symbolisme à travers l'oeuvre d, p.297

B. Vautour, du fond de sa solitude, connaît la souffrance qui, avant d'aboutir au salut et à la compassion

S. Bourges, . Outre-sa-solitude, and . Sa-souffrance, nous apparaît comme une figure prométhéenne, c'est bien évidemment aussi en raison de sa révolte Un Prométhée certes paradoxal dans la mesure où il s'insurge contre le progrès et le monde moderne. Contre cette société de la fin du siècle avec laquelle il n'a rien de commun, où il se sent parfaitement étranger, au sens baudelairien du terme

R. Comme-le-signale-justement and . Schwab, il semblerait avoir voulu son isolement : quand on l'approche, on discerne qu'il sanctionnait un état de fait, l'impossibilité de cohabiter avec ceux qui se satisfont à bon marché. » 1312 Ainsi la solitude chez Bourges, au même titre que celle des Esseintes dans sa « Thébaïde raffinée », tient lieu de révolte face au monde bourgeois. Et à « la haine du beau » il répond par la haine du bourgeois car, à la suite de l'illustre décadent de Huysmans, il souffre également de la « tyrannie de la face humaine » baudelairienne : « J'ai fait une assez longue promenade en forêt, où j'ai joui avec ivresse de la solitude, Pour un regard superficiel Malheureusement on y voit encore de ci de là, quelques silhouettes de Bourgeois. Quand donc ces sales chenilles-là seront-elles rentrées chez elles ?, 1313.

. Mais-la-révolte-de, Bourges se manifeste principalement à l'encontre du monde bourgeois, de l'avènement de la démocratie et de la désacralisation du monde qui s'ensuivit. Le monde désenchanté et absurde de la fin du XIXe siècle ne saurait, p.202

C. Le-rapporte, L. Buzzini, and «. Que-le-régime-démocratique-soit-par-essence-la-négation-de-la-foi, À ce titre, La Nef peut être lu comme une éternelle quête de spiritualité dans un monde qui a décrété la mort des dieux. Prométhée, pour reprendre Louis Buzzini, « figure l'ardente recherche de l'esprit pour atteindre l'absolu, la nostalgie mystique du penseur qui veut épancher son âme dans l'infini. » 1315 Car le Prométhée de Bourges est un Sisyphe révolté qui a soif de spiritualité mais qui ne connaît, dans ce monde démocratique d'après la Révolution, que l'angoisse métaphysique, l'effroi du coeur devant les grands espaces muets : « Certes sans Dieu mon âme est vide ; l'univers, monstrueux et glacé, épouvante mon regard. » 1316 La Nef nous conte toute la grandeur et la misère de l'homme sans Dieu, le tragique de sa destinée ainsi que sa quête pour réenchanter le monde et nous présente, comme l'écrivain l'a confessé à Louis Buzzini, un Prométhée qui a les traits d'Élémir Bourges : La Nef si vous voulez, c'est l'humanité en attente de rédemption, Prométhée, c'est moi et c'est l'homme éternel, vous saisissez ma pensée, 1314.

B. Le, inscrit la critique du progrès par Élémir Bourges, en tant que frein à la rédemption du monde Cette condamnation, en particulier dans sa correspondance avec Armand Point, contemporaine de la rédaction de La Nef, porte sur différentes disciplines où des améliorations, au cours de l'histoire, seraient advenues. Ainsi l'écrivain, dans un premier temps, s'en prend à l'art. Avec son ami peintre, il préfère Giotto, Fra Angelico, Ghirlandaio ou Michel-Ange à la peinture moderne, faite « pour des bourgeois, par des bourgeois, En témoignant aimer les primitifs et les préférer aux modernes vous insultez grandement au progrès, la seule religion de ce siècle. » 1320 La littérature moderne, à travers l'oeuvre de Dostoïevski, n'attire pas plus ses faveurs, p.1314

L. Buzzini and E. Bourges, Histoire d'un grand livre « La Nef, p.50, 1951.

. Le-pauvre-vieil-homère-se-serait-Évanoui, en lisant une page ou deux des Frères Karamazov par exemple, et en voyant ce que sont devenus les hommes qui se portaient si bien de son temps Que voulez-vous ? C'est le progrès. » 1321 La philosophie, dont Bourges fut un grand lecteur pendant la conception de La Nef, est également la cible de sa diatribe, en particulier Nietzsche, ce qui peut surprendre certains lecteurs qui auraient eu une lecture nietzschéenne de l'oeuvre : « Je suis en

. Encore-un-qui-croit and . Au-progrès, Évolution, et à la Science, et qui est bien persuadé qu'il a tué le bon Dieu en duel. » 1322 La politique de la Troisième République, son régime démocratique, et ses nombreux soubresauts ne lui font guère, à la veille de la Première Guerre mondiale

. Parlementarisme, . Ont-mis-extrêmement-bas-progrès, and !. Grandeur-du-génie-humain, » 1323 Élémir Bourges critique donc le progrès en raison de son matérialisme, dans la mesure où tous les domaines de la vie se trouve être désormais, sous la Troisième République, dépourvu de toute spiritualité, où l'homme moderne, sans référent divin, se glorifie de son génie En définitive, à travers ces différentes disciplines, c'est bien le Progrès dans sa dimension absolue, hérité des Lumières, qui s'avère être la cible de l'écrivain : Quand on voit ces gens-là, n'est-ce pas que ce dada moderne de Progrès nous fait sourire ironiquement. Notre pauvre temps qui réclame à grand cri l'utile, et qui ne voit pas qu'à ce train-là, la vie va devenir de plus en plus inutile Je ne sais quelle folie a frappé toutes les cervelles depuis cent ans. Ce sont ces idiots du XVIIIè siècle, les Condorcet, les Priestley, les Turgot, qui nous ont laissé cette queue-là ? la Perfectibilité. Les journaux ont embouché leurs fanfares, et voilà l'Humanité en délire, attendant que les ailes lui poussent, et que les canards naissent naturellement aux petits pois, Et voilà les Allemands qui se hérissent de bayonnettes Bourges ne croit pas au Progrès et à la notion de perfectibilité, qui verrait la marche en avant de la civilisation comme la perfection de l'humanité. Il découle de cette idée

. Car, Ainsi Prométhée, dans La Nef, doit reconnaître, après l'écoulement de l'Olympe et le bûcher divin, immense Walhalla wagnérien, qu'il a échoué dans ses promesses de bonheur destiné aux hommes, « le règne merveilleux de l'Amour » 1326 ne s'est pas réalisé. Mais à la mort des dieux succède le règne de l'or, devenu la valeur suprême : « Va, va, les dieux sont morts. Le seul qui règne encore, bon titan, c'est l'or sacré, l'or triomphal et, certes, je le vénère beaucoup plus que j'honorais Zeus, car il se laisse enfermer dans un coffre. » 1327 Tels sont les propos tenus à Prométhée, après l'écroulement de l'Olympe, par la race des géants Arimaspes, devenue le symbole de la ploutocratie de la fin du siècle, comme le souligne très bien Louis Buzzini : « Tout ce qui incarne la force brutale, la soif des richesses et des jouissances matérielles, la ploutocratie, la tyrannie du nombre, la race hommes de proie et de lucre, Mal universel des rapaces et des cyniques, ravageurs du sol et du sous-sol, est comme transposé dans le mythe des Arimaspes. » 1328 Mais l'or et les biens matériels ne sauraient répondre au bonheur universel. Car, dans une perspective schopenhauerienne, l'or accroît le désir et la souffrance en proportion et si le désir s'avère être comblé, l'être humain est la proie de l'Ennui. De plus l'âme vide, il a la nostalgie de la foi et des dieux. Bourges reproche donc aux Lumières de ne pas avoir tenu leurs promesses, dans la mesure où l'Homme est toujours la victime du mal et de la souffrance

. De-dépit, Prométhée prend conscience de l'irrémédiabilité du péché originel

!. Malheur, L. La-voilà-donc-connue, and . Grande-faute-originelle, Chaque haleine de l'éphémère, chacune des gouttes de sang qui affluent sans relâche à son coeur, y roule la plainte et la souffrance de quelque bête égorgée. Ainsi, tout homme est criminel. Depuis la nouveau-né qui vagit, depuis la vierge aux yeux candides

P. Baudelaire, X. Particulièrement-au-fragment, and . De-mon-coeur-mis-À-nu:-«-la-théologie, Qu'estce que la chute ? Si c'est l'unité devenue dualité, c'est Dieu qui a chuté En d'autres termes, la création ne serait-elle pas la chute de Dieu ? » 1336 Ainsi pour Baudelaire, mais aussi donc pour Schopenhauer et Bourges, il faut, comme le remarque André Guyaux, « pour trouver le premier signe du mal, remonter plus haut encore, à la chute (de l'homme), donc à la création, c'est-à-dire à la, 1337.

A. Lebois, Les Tendances du symbolisme à travers l'oeuvre d' Élémir Bourges, ibid, pp.268-302

E. Considère and . Effet, abeille tire la douceur de son miel Du thym, de l'herbe la plus âcre. De même, ce n'est point de la joie, mais de ton deuil, de tes douleurs

C. 'est-par-«-le-bain-purifiant-de-la-douleur, 1340 que Prométhée peut atteindre une forme de sagesse, c'est-à-dire éteindre en soi le désir, anéantir la volonté de son propre vouloir : « Celui que trouble le la passion, n'entre pas au royaume divin. La rédemption du monde doit sortir de ton entier renoncement et de ta mort à toi-même. » 1341 La rédemption résulte donc, pour Schopenhauer, d'un acte intérieur et individuel qui est la conséquence de l'expérience des souffrances subies

. Prométhée, . Le-sein-se, and . Qu-'un-fleuve, lorsqu'il sacrifie son corps, affirmation de sa volonté, afin que l'esprit de renoncement et de charité prenne sa place dans le monde 1343 : « Plus de haine, plus de colère, plus de sang qui s'expie par le sang ! La loi d'amour succède à la haine. Il ne reste, au centre du monde, qu'un autel, celui de la Pitié, autour duquel voltigent, en frémissant les prières aux yeux de colombes. » 1344 La Pitié de Schopenhauer découle de la connaissance pour l'homme de son unité avec ses semblables dans la Volonté : le principium individuationis, forme du phénomène, ne le tient plus captif ; la souffrance qu'il voit ainsi chez les autres le touche presque autant que la sienne ; il tente par conséquent d'établir un équilibre entre les deux, se prive de certains plaisirs, afin d'alléger les souffrances d'autrui. Il se rend compte que la différence entre lui-même et les autres, qui est un si grand gouffre pour le méchant, 1342.

L. Nef, Il n'y a pas d'autre univers qu'un univers humain, l'univers de la subjectivité humaine. Cette liaison de la transcendance, comme constitutive de l'homme -non pas au sens où Dieu est transcendant, mais au sens de dépassement -, et de la subjectivité, au sens où l'homme n'est pas enfermé en lui-même mais présent toujours dans un univers humain, c'est ce que nous appelons l, p.68

J. Aujourd-'hui,-indépendamment-d-'écrivains-tels-que, S. Schuhl, and . Liberati, idée de décadence tend à se répandre en France De Zemmour à Onfray, en passant par Finkielkraut, Debray ou Houellebecq, le sentiment de la fin d'un monde, de la fin de notre civilisation, traverse la pensée de nombreux intellectuels qui dominent le système éditorial et médiatique Cette thèse décliniste s'alimente à la crise de valeurs que traverserait la République ainsi qu'à une supposée perte d'identité nationale dont les responsables seraient l'Islam et l'Union européenne. Ainsi, Michel Houellebecq nous narre, dans Soumission, l'histoire d'un universitaire spécialiste de Huysmans 1358 qui, après l'arrivée au pouvoir des musulmans en 2022, se convertit à l'Islam. Sous couvert d'une critique de la société démocratique occidentale, à travers son individualisme, son consumérisme et son absence de spiritualité, en partie due à un christianisme arrivé en bout de course, Soumission nous donne surtout à voir la nostalgie, de la part de son auteur, d'une société patriarcale. Le roman de Houellebecq fait donc l'éloge de la famille, de « la vraie cellule sociale » 1359 selon Paul Bourget, que l'Islam serait capable de réinstaurer à travers une véritable hiérarchie, en remettant de « l'ordre » au sein de la famille et de la société. Un Islam pour le moins caricatural, digne de l'Arabie Saoudite, où la femme serait soumise à l'homme, Car la décadence chez Houellebecq est moins liée au spirituel qu'à la chair. Soumission nous en dit finalement beaucoup moins sur la décadence supposée de la France que sur les névroses personnelles de l'écrivain. Cependant, quelles que soient les véritables raisons du sentiment de décadence, de Baudelaire à Houellebecq, le monde n'en finit pas de finir. Et il est fort probable que la décadence

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